Capitaine frites de Arnaud Le Guilcher

16/09/2016 16:37

En cette période de rentrée littéraire, je ne pouvais pas passer un mois de septembre sans lire un titre de ce moment si attendu par les lecteurs. Aujourd'hui, je vous propose donc une chronique sur Capitaine frites de Arnaud Le Guilcher.

Couverture Capitaine frites
 

Ma note : A lire et à découvrir.

Capitaine frites de Arnaud Le Guilcher
Ed. Robert Laffont.
19,50 €

 

 

 

 

 

4ème de couverture :

On ne s'expatrie jamais d'une guerre de couple...

 

Pour se sortir du cauchemar d'un divorce, qualifié pudiquement de « difficile », Arthur décide de s'en aller loin, très loin de Paris. Il échoue à Yabaranga, la capitale chaotique d'un pays africain imaginaire. Comme dans tous les romans d'Arnaud Le Guilcher, le lecteur est pris dans un tourbillon de situations poétiques, burlesques, ultra sensibles, et hilarantes. Au fil des pages, s'entremêlent un président domicilié dans une tour en chantier, une bande d'insupportables rastas blancs joueurs de djembé, des poissons géants, un indien d'Amazonie cartésien et des miliciens durassiens... Tout cet assemblage baroque résistera-t-il à l'arrivée de Morgane, l'ex femme d'Arthur, venue faire de la vie de ce pauvre garçon, un enfer sous les tropiques ?

 

Capitaine frites est illustré par 5 dessins de Charles Berberian

 

Mini-résumé :

Arthur fuit sa femme en Afrique, là-bas il doit aménager un bassin pour quatre poissons hors-normes. Sa mission sera chamboulée par l'arrivée inattendue de sa femme, Morgane.

 

Mon avis : 

Un roman burlesque où l'humour est présent sous toutes ses formes. L'écriture est fluide et agréable à lire. On se retrouve, nous aussi, projeté dans ce pays africains imaginaire avec sa tour de Babybel, ses personnages hauts-en-couleurs et cette histoire farfelue. L'auteur ne tombe pas dans la caricature du livre 100% déjanté car on trouve de la profondeur et une réflexion dans ce livre au fil des pages.

 

L'extrait :

« Il est 6 heures du matin, et le fleuve a une situation que je lui envie : Il est peinard dans son lit. »

 

Mes réactions en lisant ce livre :

- Rires,
- « Mon dieu, pourquoi ? *rire* »
- « Oh, le pauvre »
- Rire.
 

En bref :

Un roman burlesque qui mérite sa place parmi les titres de la rentrée littéraire 2016 !

 

 

Sources image et 4ème de couv. : Le site des éd. Robert Laffont.

Rédigé par M. Feldre

Ni écrivaine, ni autrice. Juste quelqu'un qui aime lire et écrire. Blogueuse, apprentie-écrivaillonne, gribouilleuse, désastreuse cuisinière, rêveuse, vagabondeuse, lectrice, poisson rouge, je...